vendredi 2 avril 2010

Microsoft rachète Kaspersky (suite)

Les experts en sécurité l'auront bien sûr deviné : le rachat de l'éditeur russe par Microsoft était un poisson d'avril...

Malgré tout, l'arrivée du géant américain dans le secteur de la sécurité informatique avec son antivirus gratuit Microsoft Security Essentials (je ne parle pas du décevant Onecare...) a secoué le microcosme et a remis en cause le business plan de certains éditeurs qui n'avaient qu'un antivirus.

Pour s'en sortir, beaucoup misent sur les suites de sécurité (qui sont plutôt des fourre-tout que de vrais arsenaux efficaces...) ou sur le concept - fumeux - du cloud computing (l'antivirus n'est plus installé sur le PC mais sur un serveur de l'éditeur, à distance).

Et il y a fort à parier que des rachats dans le secteur de la sécurité vont se multiplier cette année...

A suivre...

jeudi 1 avril 2010

Scoop : Microsoft rachète Kaspersky

Coup de tonnerre dans le monde de la sécurité informatique. Microsoft veut devenir un pro de la sécurité. Pour atteindre cet objectif ambitieux, il aurait décidé de mettre le paquet en rachetant Kaspersky. Cet éditeur russe, connu et reconnu, pour la qualité de son antivirus, entrerait donc la sphère Microsoft.

Ce rachat n'a pas encore été confirmé mais des sources bien informées en Russie confirment cette opération.

Pour Microsoft, c'est un moyen d'attaquer un marché prometteur : celui de la sécurité des entreprises.

lundi 29 mars 2010

Un cheval de Troie passe par Word

Les virus ne passent pas seulement par les pièces jointes des emails. L'éditeur russe d'antivirus Doctor Web met en effet en garde contre le cheval de Troie (trojan) Trojan.Oficla (appelé aussi myLoader).

Apparu il y a environ six mois, ce code malveillant utilise désormais Microsoft Word pour se dissimuler dans le système.

Ayant contaminé l’ordinateur, le trojan cache son activité nocive en créant un processus winword.exe (si Microsoft Word est installé sur l’ordinateur). Ensuite, il enrôle l’ordinateur dans un réseau botnet, ce qui lui permet de télécharger sans problèmes des logiciels malveillants sur l’ordinateur atteint.

Selon Doctor Web, "différentes modifications de ce trojan sont vendues sur des sites spécialisés aux autres pirates. Leur prix varie entre 450 et 700 dollars".